Le chat si extraordinaire (1) Les lectures de max et Jules et leurs copains CE1

Le chat si extraordinaire (1) manuel de l'élève Max et jules.

Madeline Rafad mérite véritablement d'être connue parce qu'elle est une personnalité importante et une personnalité asiatique.

Découvrez Le Chat si extraordinaire : une histoire de littérature vietnamienne, tirée de l'ouvrage de Madeleine Riffaud.

C'est un texte intéressant à lire, parce que ses mots sont simples et ordonnés, et il est programmé pour le niveau universitaire CE1.

Lecture manuel de l'élève: max et Jule et leurs copains.

Le chat si extraordinaire (1) lecture page 12.

Il était une fois un mandarin qui possédait un chat et qui l'aimait beaucoup. Il en était si fier, il trouvait l'animal si extraordinaire qu'il décida de le nommer « Ciel ».
Or, un jour, un ami lui dit :
Permettez-moi de vous faire remarquer qu'il est une chose plus puissante que le ciel, ce sont les nuages, puisque les nuages peuvent cacher le ciel,
- Vous avez raison, répondit le mandarin. Et je vous remercie. Je vais désormais baptiser mon chat si extraordinaire du nom de « Nuage ».

Madeleine Riffaud, Le Chat si extraordinaire, © Madeleine Riffaud.

Lexique

un mandarin: nom donné autrefois à des personnages importants en Asie.
fier: être satisfait et le montrer.
baptiser: donner un nom.

Je comprends

1. Ou se passe cette histoire ? Grâce à quel mot le sais-tu ?
2. Comment le mandarin veut-il appeler son chat ? Pourquoi ?
3. Pourquoi les nuages sont-ils plus puissants que le ciel ?
4. Comment le mandarin décide-t-il d'appeler son chat à la fin du texte ? Pourquoi ?
5. Relis les premiers mots du texte. Connais-tu d'autres histoires qui commencent
de la même façon ?
6. Comment les appelle-t-on ?

Réponse

1. Cette histoire se passe en Chine. Je le sais grâce au mot « mandarin » qui est un titre de noblesse chinois.

2. Le mandarin veut appeler son chat « Ciel » car il le trouve extraordinaire.

3. Les nuages sont plus puissants que le ciel car ils peuvent le cacher.

4. Le mandarin décide d'appeler son chat « Nuage » car il a compris que les nuages sont plus puissants que le ciel.

5. Les premiers mots du texte sont « Il était une fois ». D'autres histoires qui commencent de la même façon sont des contes de fées ou des histoires pour enfants.

6. Ces histoires sont appelées des contes de fées ou des histoires pour enfants.

 Je découvre les mots du texte

1. Cite des choses ou des faits qui te semblent extraordinaires.
2. Explique le sens du mot extraordinaire.
3. Quels sont les deux mots qui forment le mot extraordinaire ?
4. Trouve un autre mot fabriqué avec extra.

Réponse

1. des phénomènes naturels spectaculaires, des exploits remarquables, des talents exceptionnels, ou des situations hors du commun peuvent être considérés comme extraordinaires.
2. Le mot "extraordinaire" signifie quelque chose qui sort de l'ordinaire, qui est exceptionnel, inhabituel, ou remarquable. C'est souvent utilisé pour décrire quelque chose qui dépasse les attentes ou qui est au-delà de la norme.
3. Les deux mots qui forment le mot "extraordinaire" sont "extra" et "ordinaire". "Extra" vient du latin et signifie "au-delà" ou "en plus", tandis que "ordinaire" vient également du latin et signifie "habituel" ou "normal". Ainsi, "extraordinaire" suggère quelque chose qui va au-delà de l'ordinaire.
4. Un autre mot fabriqué avec "extra" est "extraire", qui signifie retirer ou retirer quelque chose d'un ensemble plus large.

J'observe les phrases du texte

1. Relis les trois premières lignes du texte.
Combien comptes-tu de phrases ?
2. Par quoi se terminent les phrases que tu viens de lire ?
3. Comment reconnais-tu une phrase?

Réponse

1. Les trois premières lignes du texte contiennent une seule phrase.

 Les textes sont découpés en phrases.
2. Une phrase commence par une majuscule et se termine par :
- un point (.);
- un point d'interrogation (?);
- un point d'exclamation (!);
- des points de suspension (...).

3. Une phrase est généralement reconnue par la présence d'un sujet et d'un verbe, ainsi que par une construction grammaticale cohérente qui exprime une idée complète. Dans le texte que vous avez fourni, la première phrase est "Il était une fois un mandarin qui possédait un chat et qui l'aimait beaucoup." Elle contient un sujet (le mandarin), un verbe (possédait), et elle exprime une idée complète.

Je m'exerce à lire et à dire à voix haute

1. Lis la fin du texte à partir de la ligne 8.
Où fais-tu une pause dans ta lecture?
2. Pourquoi ?
3. Relis maintenant tout le texte en respectant bien les pauses entre les phrases.

Réponse

1. La fin du texte à partir de la ligne 8 est la suivante : "Je vais désormais baptiser mon chat si extraordinaire du nom de « Nuage »."

L'endroit où je ferais une pause naturelle dans ma lecture serait à la fin de cette phrase.

2. La pause serait faite à la fin de la phrase car elle constitue une unité grammaticale complète et marque la fin de la déclaration du mandarin concernant le changement de nom de son chat.

Je donne mon avis

1. Si tu avais un chat extraordinaire, comment l'appellerais-tu ?
2. Connais-tu quelque chose qui soit plus puissant que les nuages?

Réponse

1. Si j'avais un chat extraordinaire, je pourrais l'appeler "Éclipse" en référence à quelque chose d'exceptionnel, mystérieux et captivant.

2. Plusieurs choses peuvent être considérées comme plus puissantes que les nuages, en fonction du contexte. Par exemple, le vent peut être plus puissant que les nuages, car il peut les déplacer. De même, la lumière du soleil est plus puissante que les nuages, car elle peut percer à travers eux. Cela dépend donc du point de vue et du contexte spécifique.

J'écris

Imagine que le mandarin possède un autre animal.
Recopie et complète le début de l'histoire :
« Il était une fois un mandarin qui possédait ... et qui l'aimait beaucoup
Il en était très.... Il trouvait l'animal si... qu'il décida de l'appeler...»

Réponse

« Il était une fois un mandarin qui possédait un oiseau exotique et qui l'aimait beaucoup. Il en était très attaché. Il trouvait l'animal si majestueux qu'il décida de l'appeler "Ailes d'Or." »